Bolsonaro admis à l’hôpital en Floride, selon sa femme

L’an­cien prési­dent brésilien Jair Bol­sonaro a été admis dans un hôpi­tal de Floride pour des douleurs à l’estom­ac, a annon­cé son épouse.

Cette annonce inter­vient un jour après que des mil­liers de par­ti­sans ont pris d’as­saut les bureaux du gou­verne­ment dans la cap­i­tale brésilienne.

Bol­sonaro a été emmené dans un hôpi­tal près d’Or­lan­do lun­di, selon les rapports.

L’an­cien prési­dent a été poignardé en 2018 et souf­fre depuis de douleurs occa­sion­nelles à l’estomac.

Michelle Bol­sonaro a con­fir­mé sur son Insta­gram lun­di que son mari est en obser­va­tion en rai­son d’un malaise à l’estomac.

Une source proche de sa famille a déclaré que son état n’é­tait “pas préoc­cu­pant”, selon Reuters. L’his­toire a d’abord été rap­portée par le média brésilien O Globo.

Bol­sonaro a quit­té le Brésil il y a une dizaine de jours pour les États-Unis. Il a refusé de par­ticiper à la pas­sa­tion de pou­voir au prési­dent Luis Ina­cio Lula da Sil­va qui a eu lieu la semaine dernière.

Depuis son arrivée aux États-Unis, env­i­ron 48 heures avant l’in­vesti­ture de Lula, M. Bol­sonaro est hébergé dans une pro­priété appar­tenant à un artiste mar­tial mixte professionnel.

Lun­di, Rosân­gela et Welling­ton, orig­i­naires de São Paulo, se sont arrêtés à l’Angkor Resort de Reunion Res­i­dences pour une séance de pho­tos devant la rési­dence tem­po­raire de Bolsonaro.

Pour eux, c’é­tait comme vis­iter une des­ti­na­tion touris­tique. Prof­i­tant de l’oc­ca­sion pour pren­dre une pho­to, elle saute de la voiture avec un sourire et prend la pose.

Immé­di­ate­ment après, un homme de la rési­dence lui dit en por­tu­gais : “S’il vous plaît, ne vous garez pas dans la rue.”

La com­mu­nauté est fer­mée, mais une poignée de reporters entrent par une porte latérale et les Brésiliens mon­tent dans leurs voitures et les gar­ent près de leurs maisons.

Un autre quatuor brésilien s’est assis sur le trot­toir devant leur mai­son pen­dant plus d’une heure. Ils ne voient rien et n’at­ten­dent rien. Ils veu­lent juste s’asseoir et se sen­tir fam­i­liers, même si Bol­sonaro ne vit pas là.

“Nous par­lons du Brésil et nous nous en souvenons”.

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