
Alors que les entraîneures de renom changent de poste, Sarina Wiegman voit son aura grandir après avoir mené l’Angleterre en finale de sa première Coupe du Monde féminine.
Sa réussite avec les Three Lionesses et son précédent sacre néerlandais ont fait d’elle la tacticienne numéro un du football féminin. Cependant, le président de la FA, Mark Bullingham, envoie un message clair : les nations rivales voulant débaucher Wiegman se heurteront à un refus, assurant qu’«elle est sous contrat jusqu’en 2025.»
Ce commentaire survient dans un contexte de grands changements. Récemment libéré, le poste de sélectionneure des quadruple championnes américaines se profile après leur pire élimination en Australie. Dans leur quête d’une nouvelle figure, le nom de Wiegman ne manquera pas d’émerger vu son pedigree sur la plus grande scène. Mais Bullingham se montre catégorique : la FA considère Wiegman comme essentielle et n’envisagera aucune avance pour la soustraire.
Reconnaissant que les talents de Wiegman pourraient lui valoir «n’importe quel poste», Bullingham a aussi abordé l’écart salarial susceptible de surgir si une offre mirobolante se présentait. L’intérêt pour le football féminin croissant, le débat autour d’une rémunération équitable aussi. Cependant, le message de la FA est clair : sous la houlette de Wiegman, l’avenir de l’Angleterre s’annonce radieux.
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