
Twist incroyable dans l’affaire des fuites sur Manchester City, alors que le “lanceur d’alerte” portugais derrière ces révélations explosives s’en sort libre.
Rui Pinto n’écopera que de 4 ans de sursis après avoir divulgué des centaines de milliers de documents à l’origine de 115 chefs d’accusation contre les champions de Premier League.
Évoquant contrats et emails compromettants, ces documents avaient choqué le hacker de 34 ans qui affirmé ne viser que les manquements, non la criminalité. Ayant aidé plusieurs autorités européennes, il a plaidé coupable d’intrusions informatiques contre Doyen Sports et cabinets d’avocats.
Cette clémence ne l’absout pourtant pas d’une nouvelle mise en examen pour des cyberactivités jugées illégales par certains. Ses actions controversées ébranlent les structures du foot européen, mais pour combien de temps Pinto pourra-t-il éviter la case prison? L’enquête suivra son cours.
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