La femme de Trevor Ariza : elle demande une ordonnance restrictive suite à des allégations d’abus, et dit au juge qu’elle est “toujours anxieuse”

La femme de l’an­cien joueur des Lak­ers Trevor Ariza a demandé au tri­bunal une ordon­nance restric­tive con­tre le père de ses deux enfants, a révélé RadarOnline.com.

Selon les doc­u­ments judi­ci­aires obtenus par RadarOnline.com, Bree Ander­son Ariza a demandé une ordon­nance de pro­tec­tion con­tre Trevor. Elle estime que pour sa pro­pre sécu­rité, elle veut qu’il reste loin d’elle et qu’il n’ait aucun con­tact avec elle.

Elle dit aus­si qu’elle veut que le juge ordonne que Trevor ne puisse pas entr­er dans sa mai­son. Elle souhaite égale­ment obtenir la garde exclu­sive et des vis­ites sur­veil­lées de la star de la NBA.

Dans sa demande d’or­don­nance restric­tive, Bree dit que Trevor “a exer­cé une vio­lence physique extrême con­tre moi” pen­dant son mariage.

L’ar­ti­cle con­tin­ue ci-dessous

“Il a abusé de moi ver­bale­ment et émo­tion­nelle­ment. Cer­tains de ces abus ont eu lieu en présence de nos enfants”, a‑t-elle déclaré.

“J’é­tais finan­cière­ment dépen­dante de Trevor tout au long de notre mariage”, a‑t-elle expliqué, expli­quant pourquoi elle est restée jusqu’à ce qu’elle ait le courage de rompre. Elle a dit qu’elle espérait que sa demande de divorce met­trait fin aux allé­ga­tions d’abus, mais ce n’est pas le cas.

Cepen­dant, elle dit que Trevor a con­tin­ué à l’ap­pel­er “h-” et “b—–” devant ses enfants et qu’il “me menaçait régulièrement.”

Elle dit se sen­tir mal à l’aise parce que Trevor vit à 800 mètres de chez elle. Bree a déclaré qu’il s’é­tait déjà intro­duit chez elle à son insu parce qu’il “pense qu’il a le droit d’aller et venir comme il veut”.

À un moment don­né, il l’a men­acée de chang­er ses ser­rures et de faire d’elle une sans-abri si elle ne suiv­ait pas tous ses ordres. Selon Bree, Trevor a con­tin­ué à refuser de pay­er sa pen­sion ali­men­taire et a men­acé de sépar­er ses enfants d’elle.

Dans sa péti­tion, elle détaille un inci­dent au cours duquel Trevor se serait présen­té à son domi­cile en août 2021. Bree a déclaré qu’il était “très en colère” et a exigé qu’il lui donne son télé­phone portable, ce qu’elle a refusé.

Bree affirme qu’il l’a jetée sur le lit et a com­mencé à l’é­tran­gler, mais l’a relâchée juste avant qu’elle ne perde con­nais­sance. Elle pré­tend que Trevor l’a frap­pée avec son poing fer­mé et a con­tin­ué à la frap­per à plusieurs reprises.

Bree affirme qu’un autre inci­dent s’est pro­duit le 17 févri­er 2020, au cours duquel Trevor l’a étran­glée jusqu’à ce qu’elle perde con­nais­sance. “Il m’a immé­di­ate­ment attrapée par la gorge et a com­mencé à l’é­tran­gler jusqu’à ce que je sois inconsciente”.

Elle a pointé du doigt un texte du 9 sep­tem­bre 2020 que Trevor lui aurait envoyé. “Avoir une main sur toi m’a fait sen­tir que je n’avais rien”, écrit-elle.

“Je crois fer­me­ment que les abus physiques, ver­baux et émo­tion­nels de Trevor méri­tent une ‘ordon­nance de pro­tec­tion’ ”, a déclaré Brie.

Dans le cadre de sa péti­tion, Bree a joint plusieurs pho­tos des cica­tri­ces qu’elle aurait subies à cause des actions de Trevor.

Comme RadarOnline.com l’a précédem­ment rap­porté, Trevor et sa femme Bree sont en procès depuis des mois.

L’an­née dernière, Brie a demandé le divorce de Trevor après qua­tre ans de mariage. Elle a invo­qué des “dif­férences irré­c­on­cil­i­ables” comme rai­son de son divorce.

Brie indique que sa date de mariage est avril 2018 et que sa date de sépa­ra­tion est “TBD”. Les deux sont sor­tis ensem­ble pen­dant des années avant de se marier.

Bree a demandé la garde physique prin­ci­pale des deux enfants et a exigé un droit de vis­ite pour Trevor. Il a demandé une pen­sion ali­men­taire pro­vi­soire pour les enfants et une pen­sion ali­men­taire pour le fils et le con­joint de la star de la NBA.

En réponse, Trevor a demandé la garde physique et légale con­jointe des enfants. Il a demandé au tri­bunal de révo­quer les droits de Bree à une pen­sion ali­men­taire pour époux. Ce procès est actuelle­ment en cours.

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