Le Real Madrid prêt à frapper : Le match de la Copa del Rey devrait porter un coup à la confiance de Barcelone

Le cerveau du Real Madrid, Car­lo Ancelot­ti, pré­pare déjà une grande opéra­tion con­tre Barcelone.

Le moment, le lieu et le but : démoralis­er un rival féroce.

Si la vic­toire con­tre Barcelone lors de la demi-finale aller de la Copa del Rey, jeu­di au San­ti­a­go Bern­abéu, est l’ob­jec­tif prin­ci­pal, Ancelot­ti veut égale­ment porter un coup men­tal au club.

Étape 1 : Saisir l’oc­ca­sion
La défaite 1–0 de Xavi Hernán­dez con­tre Almería a don­né au Real Madrid l’e­spoir d’un retour en LaLi­ga Santander.

Barcelone avait l’oc­ca­sion de porter son avance à 10 points, mais per­son­ne ne s’at­tendait à ce qu’il perde.

Cette erreur leur a coûté cher car ils sont entrés sur le ter­rain sans l’in­ten­sité et la pas­sion néces­saires pour faire le jeu.

Le der­by madrilène au San­ti­a­go Bern­abéu s’est sol­dé par un match nul 1–1, réduisant l’é­cart à sept points. Les Blancs, qui n’a­ban­don­nent jamais, veu­lent saisir l’oc­ca­sion de saper la con­fi­ance de leurs rivaux au moment le plus impor­tant de la saison.

Il reste 15 match­es, 45 points et un ren­dez-vous poten­tielle­ment décisif.

La pre­mière étape du plan d’Ancelot­ti com­mence ici. Le Real Madrid a beau­coup de match­es “gagnables” en LaLi­ga San­tander, mais en plus de la Copa del Rey, il doit encore ter­min­er la Ligue des cham­pi­ons con­tre Liv­er­pool et pour­rait pass­er une autre nuit en Europe après cela. Par con­séquent, l’ac­cu­mu­la­tion de tournois est une ques­tion difficile.

Étape 2 : Démoralis­er Barcelone
La mis­sion d’Ancelot­ti est de bris­er le cœur des joueurs d’Athlgrana.

C’est une attaque directe à leur fierté au pire moment de la sai­son pour l’équipe de Xavi.

Le match de Copa entre le Real Madrid et Barcelone ce jeu­di est plus qu’un sim­ple Clási­co, c’est un match qui pour­rait décider de l’avenir des deux équipes dans les deux compétitions.

Et c’est là que se trou­ve la par­tie la plus fon­da­men­tale de la deux­ième étape du directeur ital­ien. La mis­sion don­née aux joueurs est d’empêcher une série de défaites qui éroderait la con­fi­ance de leurs adversaires.

Mais comme toutes les idées, sa logique est par­fois défaillante.

L’équipe d’Ancelot­ti a con­nu une série de 42 vic­toires et 27 défaites, tan­dis que celle de Xavi en a eu 37.

Mais la vic­toire d’Almería a peut-être changé la dynamique. Le Real Madrid voudra con­tin­uer sur sa lancée avec une vic­toire jeu­di soir.

Étape 3 : le dernier tour d’Ancelot­ti
Pour réus­sir un grand plan, il faut tou­jours le ter­min­er par un coup imprévisible.

Ancelot­ti ne révèle pas grand-chose sur l’ef­fec­tif du match et garde sa carte pour lui.

Vini­cius est claire­ment le leader de l’opéra­tion, et il est pos­si­ble que Rodri­go revi­enne dans l’équipe et par­ticipe à l’opéra­tion. En revanche, on ne sait pas qui débutera.

Une bonne nou­velle pour l’en­traîneur ital­ien. De plus, son adver­saire est en pleine crise de blessures, avec Pedri, Robert Lewandows­ki et Ous­mane Dem­bélé, trois des joueurs les plus influ­ents de l’ef­fec­tif manquants.

La folie du Real Madrid est étayée par des sta­tis­tiques con­va­in­cantes : Le score de Barcelone en LaLi­ga San­tander est de 90 % avec Pedri, 57 sans le Canarien. % seulement.

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