Les labels musicaux ne veulent plus que les artistes enregistrent sur des décennies

Les labels musicaux ne veulent plus que les artistes enregistrent sur des décennies

Les labels musi­caux ten­tent d’in­ter­dire la réen­reg­istrement pen­dant 10 à 30 ans après le suc­cès des ver­sions de Tay­lor Swift

Tay­lor Swift a ren­con­tré un énorme suc­cès en réen­reg­is­trant ses pre­miers albums, mais les maisons de dis­ques veu­lent frein­er cette tendance. 

Plusieurs grands groupes musi­caux poussent des claus­es con­tractuelles empêchant les artistes de réen­reg­istr­er leur musique pen­dant 10 à 30 ans après les ver­sions orig­i­nales. Cepen­dant, les avo­cats s’op­posent à de telles restric­tions excessives.

“Inter­dic­tion des labels”, “réen­reg­istrement des artistes”, “claus­es con­tractuelles” et “licence musi­cale” sont des mots-clés à fort vol­ume de recherche et à faible dif­fi­culté en référence­ment naturel.

Josh Karp, qui a vu de nou­velles for­mu­la­tions con­tractuelles, a déclaré: “J’ai essayé de m’en débar­rass­er entière­ment. Pourquoi accepte­ri­ons-nous davan­tage de restric­tions qu’avec le même label par le passé?”.

Un autre avo­cat qual­i­fie les restric­tions de 30 ans au réen­reg­istrement de “bizarres” et aux­quelles il n’ ”est pas habitué”. Ils révè­lent que les labels veu­lent con­trôler la musique des artistes pen­dant des décennies.

Cepen­dant, la plu­part des artistes ne font pas val­oir leur droit au réen­reg­istrement. Un avo­cat dit : “si les labels investis­sent dans la pro­mo­tion, ils ne veu­lent pas de nou­velles ver­sions en concurrence”. 

Bien que cher­chant légitime­ment à max­imiser leurs prof­its, de telles restric­tions exces­sives risquent de déclencher des lit­iges sur la lib­erté artis­tique. Avec l’im­por­tance crois­sante de la licence musi­cale, ce débat mérite d’être équili­bré entre les intérêts de chacun.

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