Nouvelles accusations de viol et d’enregistrement forcé contre Diddy
Dans une nouvelle plainte fédérale déposée à New York, une femme nommée Thalia Graves allègue qu’à l’été 2001, alors qu’elle avait 25 ans, Diddy et son chef de la sécurité Joseph Sherman l’ont attirée dans les studios Bad Boy Recording.
Graves affirme avoir été droguée, ligotée, puis violée par les deux hommes, qui auraient également enregistré l’incident.
Des problèmes juridiques persistants pour Diddy
Cette plainte survient une semaine seulement après l’arrestation de Diddy et la publication d’un acte d’accusation fédéral pour trafic sexuel à son encontre.
Graves est la dernière d’une série de femmes à se manifester avec des allégations similaires contre le producteur de musique.
Impact émotionnel et menaces de représailles
Graves déclare avoir souffert de “flashbacks, cauchemars et pensées intrusives” au cours des années qui ont suivi l’agression présumée.
La plainte affirme également que Combs et Sherman l’ont menacée de représailles si elle parlait de l’incident à quiconque.
Quête de justice et de responsabilité
La plainte a été déposée en vertu de la loi de protection des victimes de violence à caractère sexiste de New York, qui permet aux victimes d’agressions sexuelles de porter plainte pour des abus qui seraient autrement trop anciens pour être poursuivis. Graves demande des dommages et intérêts ainsi que la destruction de tout enregistrement de l’incident présumé.
L’importance d’une enquête approfondie
Cette dernière allégation contre Diddy, si elle s’avère vraie, ternirait davantage la réputation du magnat de la musique et démontrerait la nécessité d’une enquête approfondie sur la série d’accusations troublantes portées contre lui.
Les victimes de violence sexuelle méritent justice et soutien dans leurs efforts pour guérir du traumatisme qu’elles ont subi.
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