Lors d’un interview choc accordé à CBS, le président Biden a déclaré qu’une occupation de Gaza serait “la plus grosse erreur” d’Israël. Interrogé sur l’action militaire israélienne imminente, Biden n’a pas tourné autour du pot : “Occuper Gaza à nouveau ? Une erreur monumentale”, a‑t-il affirmé de but en blanc.
En moins de 20 mots par phrase pour plus d’impact, Biden a martelé son message. Israël doit éviter Gaza, a‑t-il exhorté. Le président comprend qu’Hamas ne représente pas tous les Palestiniens. Le déploiement de deux groupes aéronavals américains pour dissuader l’escalade prouve l’engagement de Biden pour la paix.
Mais la crise humanitaire s’intensifie. Plus de 1 300 morts déjà, dont 29 Américains. Et 1 million de Gazans menacés d’attaque sous 24h. “Évacuez les civils!”, exige Biden en déployant la diplomatie pour ouvrir des voies de fuite. Il assure médicaments, nourriture et eau aux victimes innocentes.
Cependant, les tensions restent à leur comble. Israël suivra-t-il l’avertissement sans appel de Biden ? L’accès humanitaire pourra-t-il être mis en place ? Le monde regarde, angoissé, ce désastre en train de se jouer qui menace de plus grands massacres encore. Biden a pris une position audacieuse. Désormais Israël doit choisir prudemment au milieu du carnage de Gaza.
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