Le message d’un jeune garçon américain retrouvé dans une bouteille après 26 ans en France

Le message d'un jeune garçon américain retrouvé dans une bouteille après 26 ans en France

En 1997, un jeune garçon améri­cain a jeté un mes­sage à la mer dans le cadre d’un pro­jet sco­laire, sans imag­in­er qu’il serait retrou­vé. Mais plus de deux décen­nies plus tard, sa note a refait sur­face et a finale­ment reçu une réponse.

Ben­jamin Lyons n’é­tait qu’un élève de CM2 du Mass­a­chu­setts lorsqu’il a rédigé avec soin une let­tre, l’a scel­lée dans une bouteille en verre avec de la cire et l’a lâchée sur les flots. Il étu­di­ait les courants océaniques avec son pro­fesseur M. Hem­mi­la et voulait voir jusqu’où son mes­sage pour­rait voy­ager. Il ne savait pas que son sim­ple devoir de classe allait le men­er à une aven­ture internationale!

Le mois dernier, le chercheur de bouteilles français Hubert Eri­au a décou­vert une bouteille verte usée sur la plage. En y jetant un œil, il a déniché la mis­sive presque effacée de Lyons datant de 26 ans! La note avait enduré tem­pêtes, marées et temps pour accom­plir ce voy­age transat­lan­tique incroyable. 

Eri­au était déter­miné à résoudre ce mys­tère et à retrou­ver l’é­tu­di­ant améri­cain désor­mais adulte.

Après avoir con­tac­té l’an­ci­enne école pri­maire de Lyons, les admin­is­tra­teurs ont été stupé­faits de réu­nir expédi­teur et des­ti­nataire. Lyons a dû être sur­pris de finale­ment recevoir une réponse après tant d’an­nées! Eri­au a pré­cisé où et quand il avait décou­vert la bouteille.

Cette his­toire extra­or­di­naire mon­tre le pou­voir de la curiosité, de la sérendip­ité et de la con­nex­ion humaine. Même si des généra­tions se sont écoulées, un sim­ple acte de bon­té a réu­ni des cul­tures et des océans pour offrir une sur­prise inoubliable. 

La bouteille de Lyons prou­ve que les rêves peu­vent voy­ager loin quand ils sont portés par l’e­spoir, l’émer­veille­ment et le roule­ment des mers. Sa redé­cou­verte apporte le sourire, mon­trant que les mes­sages vivent si le des­tin le veut.

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