NEWS: Etats-Unis
Un ancien mannequin affirme que boire sa propre urine pendant 17ans lui a permis de conserver de bons abdominaux.

Please fol­low and like us:
Pin Share

Dans une rou­tine grossière mais apparem­ment béné­fique, Troy Casey, 55 ans, boit son pro­pre pipi et l’ap­plique sur sa peau depuis 17 ans.

Il va même jusqu’à faire des jeûnes d’urine d’une semaine et à met­tre des lave­ments de vieille urine  dans son rectum.

Troy, orig­i­naire de l’Ari­zona, aux États-Unis, a déjà été man­nequin pour Ver­sace et est main­tenant coach de vie et guéris­seur, attribuant sa pra­tique quo­ti­di­enne de l’urine pour son physique déchiré.

“La thérapie uri­naire est une pra­tique anci­enne — on n’en par­le tout sim­ple­ment pas beau­coup. Votre pro­pre pipi est plein d’acides aminés, de cel­lules souch­es et d’an­ti­corps”, a‑t-il déclaré dans une récente interview.

“Je bois ma pro­pre urine tous les matins — j’ap­pelle ça des poils de chien ! La sen­sa­tion est électrique.

“L’ap­pli­ca­tion d’urine vieil­lie est la fontaine de jou­vence et les lave­ments d’urine vieil­lie sont l’une des façons dont j’ai eu le ven­tre si plat.”

Croyez-le ou non, Troy n’a apparem­ment pas tou­jours été en si bonne san­té. Il a fait la fête au début de sa car­rière de man­nequin et a déclaré qu’il gon­flerait en con­séquence, ce qui a amené les agents de cast­ing à lui dire de ne pas pren­dre la peine de se présen­ter aux tournages.

C’est ce qui l’a amené à suiv­re la voie de la nutri­tion et des méth­odes de guéri­son naturelles et anci­ennes et il s’est intéressé à la thérapie par l’urine — égale­ment con­nue sous le nom de “Shiv­am­bu” en médecine ayurvédique — en 2004.

Il a d’abord bu son pro­pre pipi quand il n’a pas pris la peine de s’ar­rêter pour aller aux toi­lettes pen­dant un long tra­jet en voiture et pré­tend que le sen­ti­ment de goûter son pipi était «élec­trique».

L’an­cien man­nequin attribue son régime étrange à son aide à main­tenir ses abdom­inaux de six tablettes.

“La pre­mière fois que j’ai essayé ma pro­pre urine, je con­dui­sais de San Fran­cis­co à Los Ange­les. C’est un long tra­jet de cinq heures. Je ne voulais pas m’ar­rêter pour pren­dre une fuite alors j’ai fait pipi dans une tasse et j’ai bu et j’ai C’é­tait comme hé, ce n’est pas si mal !

“L’élec­tric­ité était si immé­di­ate et sub­tile — j’ai ressen­ti un bour­don­nement frais. Intu­itive­ment, ça fai­sait du bien. J’ai bu mon urine par inter­mit­tence pen­dant un moment à par­tir de là.”

À par­tir de là, Troy a com­mencé à explor­er d’autres moyens d’ingér­er son pro­pre pipi, notam­ment en faisant des jeûnes d’urine d’une semaine, en met­tant des lave­ments d’urine âgés dans son rec­tum et en appli­quant son pro­pre pipi par voie topique.

Il se sou­vient : « Mon ami qui a vain­cu le can­cer des tes­tic­ules avec Shiv­am­bu m’a mis au défi d’un jeûne uri­naire de sept jours où je viens de boire et de boucler ma pro­pre urine pen­dant une semaine.

Répon­dreTrans­fér­er

Please fol­low and like us:
Pin Share

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*