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Le meurtre d’une fillette de 12 ans suscite une réaction d’extrême droite

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Le meurtre d’une fil­lette de 12 ans dont le corps a été retrou­vé à l’in­térieur d’une botte en plas­tique a provo­qué un “choc pro­fond” en France, où les lég­is­la­teurs d’ex­trême droite ont util­isé la mort de la fil­lette pour la poli­tis­er et atta­quer les poli­tiques d’im­mi­gra­tion du gou­verne­ment. Il en est venu à être accusé de l’u­tilis­er pour

Les pro­cureurs de Paris ont vu pour la dernière fois une jeune fille (iden­ti­fiée seule­ment comme Lau­ra par les autorités) vivante sur les caméras de sur­veil­lance dans un apparte­ment du nord-est de Paris à 15h15 heure locale (9h15 heure améri­caine). a déclaré dans un com­mu­niqué lundi.

Le porte-parole du gou­verne­ment, Olivi­er Ver­an, a déclaré aux jour­nal­istes mer­cre­di que de l’en­cre rouge avait été imprimée sur la plante des pieds des vic­times, détail­lant l’in­ci­dent au cours duquel la France “a été con­fron­tée à la ter­reur et à la douleur et a été pro­fondé­ment choquée”, selon l’As­so­ci­at­ed Press. Il a été révélé que les chiffres 0 et 1 y étaient inscrits.

Une autop­sie a révélé que la cause de la mort de Lau­ra était “une insuff­i­sance car­dio-pul­monaire avec des symp­tômes d’as­phyx­ie” et des signes de com­pres­sion cer­vi­cale, a ajouté le com­mu­niqué du procureur.

Le par­quet de Paris a indiqué lun­di qu’une femme de 24 ans, arrêtée same­di dans la ban­lieue nord-est de la cap­i­tale, a été placée en garde à vue pour meurtre et viol sur mineur, tor­ture, actes de bar­barie et dis­sim­u­la­tion de corps.

Un homme de 43 ans a égale­ment été placé en déten­tion pour avoir aidé à cacher le corps de la jeune fille, selon un com­mu­niqué du par­quet. Les qua­tre autres per­son­nes ont été acquittées.

Le min­istre de la jus­tice, Eric Dupond-Moret­ti, a déclaré mar­di à l’Assem­blée nationale que la femme détenue avait reçu l’or­dre de quit­ter la France le 22 août. La sus­pecte est incon­nue de la police, mais elle affirme être elle-même vic­time de violences.

Les politi­ciens d’ex­trême droite ont depuis accusé le gou­verne­ment cen­triste du prési­dent français Emmanuel Macron, ren­dant ses poli­tiques d’im­mi­gra­tion respon­s­ables de la mort de la jeune fille.

“Les sus­pects de cet acte bar­bare n’au­raient pas dû se trou­ver en France”. Marine Le Pen, qui s’est présen­tée à la prési­dence pour la troisième fois cette année et n’a pas réus­si, a déclaré lun­di : “Qu’est-ce qu’ils atten­dent ?”. De met­tre fin une fois pour toutes à l’im­mi­gra­tion clan­des­tine sauvage”, a‑t-il tweeté.

Le même jour, le Pre­mier min­istre français Elis­a­beth Born a déclaré au Par­lement que Mme Le Pen devait “faire preuve de décence et de respect pour la douleur de sa famille”.

Le leader d’ex­trême droite Eric Zem­mour, qui s’est fait con­naître lors de l’élec­tion prési­den­tielle de cette année et a sus­cité la con­tro­verse avant que sa con­tes­ta­tion ne s’estompe, a qual­i­fié la mort de “fran­co­side”, le meurtre sélec­tif des Français, dans un tweet lundi.

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