
Monique Ooms, une ancienne enseignante de Victoria, en Australie, a évité la prison après avoir reconnu avoir eu des rapports sexuels avec une étudiante de 16 ans sur le siège arrière de sa voiture.
Ooms, 31 ans, a plaidé coupable à quatre chefs d’accusation de pénétration sexuelle d’un enfant sous sa surveillance et ses soins devant le tribunal du comté de Latrobe Valley.
Selon les procureurs, Ooms viendrait chercher l’adolescent tard dans la nuit et le conduirait dans des endroits éloignés pour des relations sexuelles.
Le tribunal a appris que le garçon était dans un état émotionnel vulnérable après avoir perdu un ami proche dans un accident de voiture lorsque l’affaire a commencé.
Malgré la possibilité d’une peine de 10 ans de prison, le juge John Smallwood a décidé de ne pas prononcer de peine privative de liberté, citant “l’état mental fragile” d’Ooms et déclarant qu’il n’y avait “aucune preuve” que le garçon avait été blessé.
Le juge a également noté que l’adolescent avait 16 ans et avait consenti à l’activité sexuelle.
Cependant, Ooms a perdu son certificat d’enseignement à la suite de l’affaire et travaille maintenant comme maçon. Le juge a souligné que l’infraction n’était pas la pénétration elle-même, mais le fait qu’Ooms était un enseignant se livrant à une activité sexuelle avec un élève.
L’affaire met en lumière l’importance du maintien des limites professionnelles et les conséquences néfastes de leur violation. Les enseignants ont un devoir de diligence envers leurs élèves, et tout manquement à cette confiance peut avoir des effets durables sur l’élève et sur la carrière de l’enseignant.
Il est important que les éducateurs comprennent la gravité de leur position et agissent en tout temps de manière responsable et éthique.
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