Une enseignante accusée d’avoir envoyé des photos d’elle nue à un élève

Une enseignante accusée d'avoir envoyé des photos d'elle nue à un élève

Un scan­dale sec­oue l’é­cole sec­ondaire de St. James aux Etats-Unis alors qu’une enseignante de 24 ans, Rik­ki Lyn Laugh­lin, fait face à des accu­sa­tions graves. 

Laugh­lin est accusée d’avoir eu des com­porte­ments illicites avec un élève mineur, en lui envoy­ant des pho­tos et vidéos explicites, et même en ten­tant d’or­gan­is­er une ren­con­tre sex­uelle pen­dant l’ab­sence de son mari.

Les autorités ont révélé que Laugh­lin avait util­isé Snapchat pour entr­er en con­tact avec le garçon de 16 ans, l’as­sail­lant d’im­ages pornographiques d’elle-même. En retour, elle a sol­lic­ité des pho­tos dénudées du jeune homme, créant une sit­u­a­tion pro­fondé­ment troublante.

Le bureau du shérif du comté de Maries a reçu un tuyau cru­cial d’un détec­tive du comté de Phelps, met­tant en lumière la rela­tion inap­pro­priée. Une fois les accu­sa­tions révélées, un détec­tive a inter­rogé le jeune garçon, qui a courageuse­ment partagé les détails boulever­sants. Il a révélé que Laugh­lin l’avait incité à sup­primer le con­tenu explicite en rai­son des com­mérages à l’é­cole, craig­nant les conséquences.

Inter­rogée, Laugh­lin a admis avoir engagé des con­ver­sa­tions avec l’élève, mais a ten­té de se défauss­er en pré­ten­dant ne pas con­naître son âge avant la veille. Cepen­dant, son télé­phone portable, remis pour exa­m­en, a révélé des preuves acca­blantes — une vidéo sim­i­laire à celle décrite par l’élève.

Selon les autorités, la sit­u­a­tion a encore empiré lorsque Laugh­lin a invité l’ado­les­cent à une ren­con­tre sex­uelle chez elle pen­dant l’ab­sence de son mari. De manière trou­blante, l’élève a refusé, invo­quant son incon­fort face à la situation.

Laugh­lin doit main­tenant faire face aux con­séquences de ses actes, ayant été arrêtée et inculpée de six crimes sex­uels graves. Par­mi eux, la pro­mo­tion de l’ob­scénité, la four­ni­ture de matériel explicite à un mineur, la ten­ta­tive de viol statu­taire, l’en­trave à un témoin, la pos­ses­sion de pornogra­phie juvénile et la fal­si­fi­ca­tion de preuves.

Le bureau du shérif du comté de Maries n’a pas encore répon­du aux deman­des de com­men­taires de PEOPLE con­cer­nant cet inci­dent trou­blant. Cepen­dant, des doc­u­ments obtenus auprès du Départe­ment de l’é­d­u­ca­tion élé­men­taire et sec­ondaire du Mis­souri révè­lent que Laugh­lin déte­nait plusieurs cer­ti­fi­cats d’au­tori­sa­tion tem­po­raire pour l’en­seigne­ment et avait été chargée d’en­seign­er des cours aux élèves de pre­mière année à l’é­cole sec­ondaire de St. James.

Le sur­in­ten­dant Tim Web­ster, sans nom­mer directe­ment Laugh­lin, a con­fir­mé qu’un enseignant avait été rapi­de­ment écarté de l’étab­lisse­ment sco­laire et mis en con­gé en atten­dant l’en­quête. Web­ster a souligné l’en­gage­ment du dis­trict envers la sécu­rité et le bien-être de ses élèves, exp­ri­mant une tolérance zéro pour toute vio­la­tion au sein de la com­mu­nauté éducative.

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