
Njika Sandrine, une habitante de Dschang, au Cameroun s’est retrouvée dans une situation difficile après avoir été accusée de maltraitance d’enfants.
Dans une lettre adressée à un destinataire inconnu, elle explique qu’elle a été engagée comme femme de ménage à Fourgeroles par une journaliste, Mme Abessolo Agnès Solange.
Sandrine était chargée de s’occuper du fils autiste de Solange, de faire le ménage et la cuisine pour un salaire mensuel de 40 000 FCFA.
Les problèmes de Sandrine ont commencé presque immédiatement après la naissance. Sandrine a également souffert des accès de violence du fils autiste de Solange, qui l’attaquait parfois avec une force surhumaine. Elle était souvent aidée par la concierge et une petite fille qui lui chantait des chansons pour le calmer.
Malgré tout, Sandrine a tenu bon pendant un mois en espérant toucher son salaire. Mais Solange ne lui a versé que 30 000 FCFA et a prétendu que Sandrine avait abîmé la plaque d’œillets. Lorsque Sandrine a protesté, Solange l’a menacée de graves conséquences si jamais elle prenait des mesures contre elle.
Le 29 mars, Solange a appelé Sandrine pour qu’elle vienne chercher un nouveau téléphone qu’elle disait avoir acheté pour elle. Mais à son arrivée, Sandrine est arrêtée par la police pour maltraitance d’enfant. Elle a été arrêtée et craint maintenant d’être condamnée à tort et emprisonnée.
Sandrine demande de l’aide à tous ceux qui peuvent l’aider, car elle vient d’une famille pauvre et n’a personne d’autre vers qui se tourner. Elle affirme être innocente des accusations portées contre elle et espère désespérément que quelqu’un lui accordera une assistance juridique.
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