Une femme transgenre condamnée pour viol avec un pénis

Une femme trans­genre qui avait vio­lé une amie avec son pénis à son domi­cile a été con­damnée aujour­d’hui à neuf ans de prison. Lexi Rose Craw­ford, 24 ans, avait déjà purgé une peine de qua­tre ans pour avoir eu des rela­tions sex­uelles avec une jeune fille de 15 ans ren­con­trée en ligne alors qu’elle s’i­den­ti­fi­ait comme un homme.

Lexi Rose Craw­ford s’est liée d’ami­tié avec la dernière vic­time, qui était vul­nérable et avait des prob­lèmes de san­té men­tale, et a apporté une PlaySta­tion chez elle pour jouer à des jeux. Elle l’a ensuite agressée sex­uelle­ment, mal­gré ses protes­ta­tions et sa résistance.

Craw­ford, qui a été appelée “Miss” tout au long du procès en mars, a été recon­nue coupable de viol et d’a­gres­sion sex­uelle par un jury à la Bris­tol Crown Court. Elle est rev­enue aujour­d’hui devant ce même tri­bunal pour le pronon­cé de sa peine.

Le juge Michael Long­man a déclaré que son crime était “par­ti­c­ulière­ment choquant” compte tenu de son casi­er judi­ci­aire et du fait qu’elle avait trahi la con­fi­ance de son amie.

Il a déclaré à Mme Craw­ford : “Vous étiez invitée chez elle à ce moment-là. C’est égale­ment par­ti­c­ulière­ment choquant, et le sen­ti­ment d’avoir été trahie est tout à fait compréhensible”.

La vic­time a déclaré dans un com­mu­niqué que le viol l’avait telle­ment trau­ma­tisée qu’elle avait dû quit­ter son domi­cile et qu’elle avait ten­té de se sui­cider à plusieurs reprises.

Elle a ajouté : “Avant ce jour-là, j’avais un peu de mal à m’en sor­tir : “Avant ce jour, j’avais quelques prob­lèmes de san­té men­tale, dont le syn­drome de stress post-trau­ma­tique, mais je pen­sais que je fai­sais des pro­grès. Mais main­tenant, j’ai des flash­backs de cette époque et j’ai peur au milieu de la nuit. Je ne peux plus vivre ici et je suis sans abri.

Lexi était cen­sée être mon amie et je me sens trahie”.

Le pro­cureur Gre­go­ry Gor­don a déclaré que Mme Craw­ford, anci­enne tech­ni­ci­enne de gui­tare bénév­ole, avait dit à la cour qu’elle “s’i­den­ti­fi­ait désor­mais comme une femme” et qu’elle était une “bonne amie” de la vic­time. Il a déclaré que Craw­ford avait util­isé son pénis pour vio­l­er et agress­er sex­uelle­ment la vic­time, qui n’avait con­sen­ti à aucun con­tact sexuel.

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