
Des chercheurs ont dévoilé des détails inquiétants prouvant que les êtres humains provoquent une panique plus grande que les principaux prédateurs chez les mammifères terrestres.
Des enregistrements ont montré avec surprise que les discussions et les aboiements dérangeaient davantage les mammifères que les mangeurs d’hommes.
Lors d’expériences menées dans le parc national Kruger, foyer de grandes populations de lions, les sujets ont quitté l’eau deux fois plus rapidement en entendant des humains parler qu’en présence de lions rôdant ou de chasseurs chassant. Les réactions incluaient des rhinocéros s’enfuyant, des éléphants s’échappant, des girafes galopant, des léopards bondissant, des hyènes se dépêchant, des zèbres filant et des phacochères errant, sachant bien que nous sommes la plus grande menace.
La découverte que les discussions troublent profondément les habitants montre notre domination. En tant que destructeur le plus meurtrier menaçant de nombreuses espèces depuis des siècles, provoquant une peur instinctive, notre notorieté de monstre est méritée. Les expériences ont exposé que le langage déclenche la plus grande frayeur, indiquant que les indigènes identifient les intrus comme le vrai risque tandis que les bruits relatifs présentent des risques réduits.
Malheureusement, les contacts continus confirment l’inquiétude persistante des populations en déclin comme les girafes. Mais les biologistes peuvent utiliser le facteur de la peur pour défendre les rhinocéros blancs menacés en simulant des voix humaines dans les zones de braconnage pour protéger les pacifiques pachydermes. Les conservationnistes ont conclu que notre impact environnemental dépasse toute autre chose sur Terre.
Poster un Commentaire