Les scientifiques stupéfaits par la capacité du sperme à défier les lois de Newton

Les scientifiques stupéfaits par la capacité du sperme à défier les lois de Newton

Des chercheurs ont été lais­sés bouche bée après la décou­verte que le sperme sem­ble out­repass­er l’une des lois de la physique les plus établies. 

La troisième loi du mou­ve­ment de New­ton affirme que toute action provoque une réac­tion égale et opposée. Cepen­dant, le sci­en­tifique math­é­mati­cien Ken­ta Ishi­mo­to et ses col­lègues ont décou­vert que le sperme défi­ait cette notion.

Ishi­mo­to a étudié la propul­sion du sperme et des algues à l’U­ni­ver­sité de Kyoto. Bien que les flu­ides épais devraient saprer leur énergie selon New­ton, tous deux utilisent leur fla­gelle pour se propulser.

L’équipe était per­plexe quant à la capac­ité des fla­gelles à con­tin­uer à bat­tre sans coût. En étu­di­ant les don­nées et sim­u­la­tions, ils ont con­staté une “élas­tic­ité étrange” se pli­ant de manière non réciproque.

Mais des ques­tions demeu­raient. Pour expli­quer davan­tage, Ishi­mo­to a forgé le terme “mod­ule d’élas­tic­ité étrange”. Ceci décrit com­ment les fla­gelles com­pensent intérieure­ment les forces égales pour con­serv­er leur puis­sance. En se pli­ant au liq­uide, ils évi­taient mirac­uleuse­ment la règle de Newton.

Les sci­en­tifiques étaient stupé­faits. En seule­ment 20 mots, ils ont résumé: “Nous avons étudié le mod­ule de cour­bu­re étrange pour décoder les inter­ac­tions internes non locales et non réciproques.”

Ishi­mo­to a ajouté que cette “élas­tic­ité étrange” génère spé­ci­fique­ment des forces actives sans pertes d’én­ergie. Ce n’est pas une descrip­tion vague de l’ac­tiv­ité, mais un vrai mécan­isme annu­lant la physique établie.

L’équipe était bouche bée face aux impli­ca­tions. Leur décou­verte sur le sperme pour­rait révo­lu­tion­ner la con­cep­tion de petits robots mimant les matéri­aux vivants. Elle offre égale­ment un éclairage nova­teur sur les phénomènes de com­porte­ment collectif. 

Les sci­en­tifiques étaient per­plex­es quant à la capac­ité de la nature à dévelop­per une telle apti­tude sem­blant vio­l­er les règles fon­da­men­tales de la mécanique.

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