L’Ancienne star de la NBA, Josh Jackson, accusé de viol dans un hôtel de New York

L'Ancienne star de la NBA, Josh Jackson, accusé de viol dans un hôtel de New York

L’an­ci­enne vedette de la NBA, Josh Jack­son, fait face à une accu­sa­tion choquante de viol et de men­aces con­tre une femme dans un hôtel de New York l’an­née dernière.

La plaig­nante, con­nue sous le nom de Jane Doe dans les doc­u­ments judi­ci­aires, affirme que Jack­son, 26 ans, l’a agressée sex­uelle­ment sans son con­sen­te­ment après une soirée du Super Bowl en févri­er 2022. Le mag­a­zine Peo­ple a obtenu les doc­u­ments judi­ci­aires révélant le démen­ti de Jackson.

Les doc­u­ments déposés devant le tri­bunal le 12 juin affir­ment que l’an­cien joueur de puis­sance des Phoenix Suns a exploité sa célébrité pour accéder à la femme et se livr­er à des actes sex­uels non consentis. 

L’in­ci­dent s’est pro­duit après que la défend­er­esse ait assisté à une fête organ­isée par des mem­bres de l’équipe de la NBA des Brook­lyn Nets, dans l’e­spoir de ren­con­tr­er Andre Drum­mond, pour qui elle avait un intérêt amoureux et qui l’avait invitée à l’événement.

Selon la plainte, Jack­son a envoyé des SMS à la femme l’in­vi­tant à le rejoin­dre à son hôtel et lui offrant 1 500 dol­lars. Elle est arrivée à l’hô­tel New York Edi­tion vers 3h15 du matin, où un Jack­son torse nu l’a accueil­lie après lui avoir envoyé un Uber pour la récupér­er à son appartement.

Dans une ten­ta­tive de l’im­pres­sion­ner, la femme affirme que Jack­son a exhibé son compte en banque, se van­tant d’avoir “12 mil­lions de dol­lars”. Elle a claire­ment fait savoir qu’elle n’é­tait pas intéressée par l’ar­gent ou le sexe, pen­sant que la fête se pour­suiv­ait à l’hô­tel et que d’autres per­son­nes y étaient présentes.

La défend­er­esse affirme qu’elle s’est endormie dans la cham­bre d’hô­tel et s’est réveil­lée dans une scène hor­ri­fi­ante. Jack­son aurait vio­lem­ment enlevé ses vête­ments, grim­pé sur elle, s’est exposé et l’a agressée sex­uelle­ment. Les doc­u­ments judi­ci­aires détail­lent com­ment il l’a maîtrisée, a retenu ses mains et a com­mis l’acte alors qu’elle pleu­rait. Cette expéri­ence trau­ma­ti­sante l’a fait s’évanouir.

Après avoir quit­té la cham­bre d’hô­tel, la femme a reçu des SMS menaçants d’amis de Jack­son l’ac­cu­sant d’avoir volé sa mon­tre, ce qu’elle a nié. Une per­son­ne l’a même aver­tie que Jack­son avait les moyens financiers d’en­gager des voy­ous pour la traquer.

Plus tard dans la journée, deux femmes décrites comme des con­nais­sances de Jack­son qui avaient vu la défend­er­esse à la fête se sont intro­duites dans son apparte­ment. Elles affir­maient que Jack­son les avait envoyées pour récupér­er la mon­tre pré­sumée volée, l’ont men­acée et lui ont pris de force son télé­phone et son sac à main. 

Cepen­dant, elle a refusé de lâch­er ses affaires. Alors qu’elles sor­taient du bâti­ment, le concierge est inter­venu, arrê­tant les deux femmes. La police de New York a été appelée et les agresseurs ont été arrêtés. C’est à ce moment-là que la défend­er­esse a sig­nalé le viol.

La plainte ini­tiale affirme que la défend­er­esse n’a pas pu et n’a pas con­sen­ti aux actes, alléguant que tout con­sen­te­ment appar­ent a été obtenu par la tromperie, la coerci­tion et la con­trainte, le ren­dant invalide.

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