Les clubs de la Liga pourraient se mettre en grève ce mois-ci en raison de la nouvelle loi sur le sport en Espagne, mais les parties espèrent parvenir à un accord avant qu’une action aussi radicale ne soit jugée nécessaire.
Le président de La Liga, Javier Tebas, a convoqué une assemblée générale extraordinaire jeudi prochain (27 octobre) pour discuter des préoccupations et des prochaines étapes concernant la dernière version du projet de loi du gouvernement, qui devrait être adopté d’ici la fin de l’année.
La Liga est mécontente qu’un amendement qui aurait empêché le club espagnol de rejoindre une Super League indépendante ait été retiré, citant la pression des sponsors de la Super League, le Real Madrid et le Barcelone. Je tiens bon
L’amendement permettra à La Liga et à la Fédération espagnole de football (RFEF) de refuser les licences des clubs pour jouer dans des compétitions non reconnues par les instances dirigeantes du football.
La question n’est toujours pas résolue après une réunion lundi à laquelle ont participé le ministre espagnol de la Culture et des Sports, Mikel Iseta, le président de La Liga, Javier Tebas, et les représentants de 15 clubs de première et deuxième divisions. is.
Selon des sources, La Liga et ses clubs ont fait pression pour que des modifications soient apportées au projet de loi et pensaient pouvoir persuader le gouvernement de retirer l’amendement.
Les responsables ont déclaré qu’une grève pour suspendre le championnat serait un dernier recours, mais qu’elle ne pouvait être totalement exclue. L’opérateur de la Superleague, A22 Sports Management, a nommé cette semaine Bernd Reichardt au poste de directeur général, dans le cadre de la dernière initiative visant à relancer et à revitaliser ce projet en sommeil.
Les trois clubs fondateurs qui soutiennent publiquement la Superleague, le Real Madrid, le FC Barcelone et la Juventus, doivent actuellement discuter de la question de savoir si la domination du football européen par l’UEFA équivaut à un monopole illégal au regard du droit européen de la concurrence. Nous attendons la décision de la Cour européenne de justice.
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