SPORT: Football Ensanglantée sur Instagram, La petite amie de Mason Greenwood, Harriet Robson, l’accuse de violence physique.

Har­ri­et Rob­son a partagé une série de mes­sages Insta­gram graphiques mon­trant son vis­age ensanglan­té et son corps meur­tri alors qu’elle fai­sait des allé­ga­tions con­tre l’attaquant.

La petite amie de Mason Green­wood, Har­ri­et Rob­son, l’a accusé de vio­lence domes­tique­Crédit: has­rob­son / Insta­gram
Le mod­èle a partagé des images graphiques sur Insta­gram alors qu’elle fai­sait des déclarations

Man­ches­ter Unit­ed a pub­lié une déc­la­ra­tion pour dire qu’il est “au courant des images”

La pre­mière mon­trait le mod­èle avec du sang coulant sur son men­ton, son cou et sa poitrine à par­tir de ce qui sem­blait être une entaille sur sa lèvre.

Elle a légendé la courte vidéo : “À tous ceux qui veu­lent savoir ce que Mason Green­wood me fait réellement.”

Elle a ensuite partagé cinq pho­tos mon­trant de pro­fondes ecchy­moses sur ses bras et ses jambes, ain­si qu’un œil rouge injec­té de sang.

Har­ri­et, qui compte 213 000 abon­nés, a ensuite pub­lié une série de notes vocales d’oc­to­bre 2021 qui sem­blaient démon­tr­er davan­tage la vio­lence pré­sumée de Green­wood, 20 ans.

Man­ches­ter Unit­ed a déclaré qu’il était au courant des images, qui ont depuis été sup­primées, mais qu’il ne com­menterait pas davantage.

Un porte-parole du club a ajouté : “Nous sommes au courant des images et des allé­ga­tions qui cir­cu­lent sur les réseaux sociaux.

“Nous ne fer­ons aucun autre com­men­taire tant que les faits ne seront pas établis.

“Man­ches­ter Unit­ed ne tolère aucune forme de violence.”

La police du Grand Man­ches­ter a con­fir­mé que des agents enquê­taient sur les allégations.

Un porte-parole de la force a ajouté: “La police du Grand Man­ches­ter est au courant des images et des vidéos cir­cu­lant sur les réseaux sociaux.

“Des enquêtes sont en cours pour établir toutes les circonstances.”

Char­i­ty Wom­en’s Aid a pub­lié une déc­la­ra­tion en réponse aux affir­ma­tions qui dis­ait: “Des mes­sages pénibles cir­cu­lent sur les réseaux soci­aux aujour­d’hui #MasonGreen­wood.

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