Magic Johnson rejoint la classe des milliardaires sportifs

Magic Johnson rejoint la classe des milliardaires sportifs

La légende du bas­ket Mag­ic John­son a éton­na­ment rejoint le classe des mil­liar­daires selon le mag­a­zine Forbes. L’an­ci­enne star des Los Ange­les Lak­ers est main­tenant le qua­trième ath­lète à avoir accu­muler une for­tune de dix chiffres, aux côtés des icônes du bas­ket­ball Michael Jor­dan, LeBron James et la star du golf Tiger Woods.

Grâce à des investisse­ments astu­cieux en dehors du bas­ket­ball, John­son a habile­ment fait grimper sa for­tune à 1,2 mil­liard de dol­lars, devenant le dernier sportif à franchir la bar­rière du mil­liard. C’est par­ti­c­ulière­ment sur­prenant étant don­né que John­son n’a gag­né que 40 mil­lions de dol­lars pen­dant sa bril­lante car­rière NBA de 13 ans, une frac­tion des 480 mil­lions de James ou des 94 mil­lions de Jordan.

La force motrice der­rière l’in­croy­able richesse de ce mem­bre du Hall of Fame est sa pos­ses­sion de 60% de Equi­Trust Assur­ance Vie, une com­pag­nie achetée en 2015. En très peu de temps, John­son a mas­sive­ment fait croître les act­ifs totaux de Equi­Trust de 16 à 26 mil­liards et aug­men­té ses revenus à 2,6 mil­liards de façon impressionnante.

Le suc­cès dans les affaires de John­son s’é­tend à d’autres indus­tries lucra­tives comme le diver­tisse­ment, la restau­ra­tion, l’im­mo­bili­er, la san­té et les bois­sons. Son parte­nar­i­at avec la multi­na­tionale Star­bucks est lié à plus de 100 mag­a­sins dans les com­mu­nautés afro-améri­caines. De plus, John­son possede des parts minori­taires dans une usine d’embouteillage Pep­si­Co à l’ex­térieur de Wash­ing­ton D.C.

John­son a su tir­er par­ti de sa célébrité et son esprit d’en­tre­prise pour acquérir des parts dans des fran­chis­es sportives pres­tigieuses. En tant qu’ac­tion­naire de longue date des Lak­ers de Los Ange­les et main­tenant parte­naire du groupe de pro­prié­taire des Wash­ing­ton Com­man­ders en NFL, John­son con­tin­ue à val­oris­er sa mar­que dans d’im­por­tants investissements.

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