Les bots sexuels IA envahissent les réseaux sociaux

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De nou­veaux babil­lards IA promet­tant une com­pag­nie virtuelle se sont rapi­de­ment propagés sur Face­book, Insta­gram et Tik­Tok. Ces «petites amies virtuelles» appren­nent les préférences des util­isa­teurs par appren­tis­sage automa­tique et génèrent du con­tenu per­son­nal­isé. Cepen­dant, cer­taines pub­lic­ités met­tant en vedette des mineurs ou des per­son­nages pour enfants enfreignent les poli­tiques sur le con­tenu pour adultes.

Les entreprises de technologie s’efforcent de réglementer les publicités sexuelles IA


Les grandes plate­formes sociales lut­tent pour sur­veiller la ten­dance émer­gente des bots sex­uels IA faisant ouverte­ment de la pub­lic­ité sur leurs sites. Meta et Tik­Tok inter­dis­ent le con­tenu pour adultes, mais ces pro­mo­tions de bots de dis­cus­sion con­tour­nent sou­vent la mod­éra­tion. Les entre­pris­es met­tent à jour les lignes direc­tri­ces pour inter­dire explicite­ment les images intimes générées par l’IA. Cepen­dant, les poli­tiques restent appliquées de manière inco­hérente, autorisant cer­taines pub­lic­ités tout en restreignant les tra­vailleurs du sexe réels.

L’« usage équitable » discutable exploite les personnages adorés


Plus inquié­tant, cer­taines pro­mo­tions de babil­lards réu­tilisent des mèmes met­tant en vedette des icônes pour enfants comme Cook­ie Mon­ster et Bob l’Éponge dans des cas con­testa­bles d’u­til­i­sa­tion équitable. Tout en diver­tis­sant les enfants, les per­son­nages bien-aimés font main­tenant la pro­mo­tion de la créa­tiv­ité pho­to des appli­ca­tions IA. Les plates-formes s’ef­for­cent d’in­ter­dire l’u­til­i­sa­tion de la pro­priété intel­lectuelle de mineurs pour attir­er les adultes, mais les défis d’ap­pli­ca­tion demeurent.

Les marques pour adultes font face à des préjugés alors que les bots se propagent sans contrôle


Alors que les pub­lic­ités IA sex­uelles se répan­dent en toute impunité, les édu­ca­teurs sex­uels et les détail­lants pour adultes sont con­fron­tés à des préjugés. La PDG d’Un­bound, Pol­ly Rodriguez, se demande pourquoi sa société de jou­ets a du mal à faire de la pub­lic­ité lorsqu’une IA non régle­men­tée peut facile­ment pro­mou­voir des ser­vices virtuels com­pa­ra­bles. Les défenseurs exi­gent un traite­ment égal et des poli­tiques trans­par­entes abor­dant des prob­lèmes comme les mineurs et l’ap­pli­ca­tion du con­tenu incohérente.

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