Dubaï prévoit d’introduire à nouveau des taxis aériens, cette fois en 2026

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Dubaï prévoit d’in­tro­duire à nou­veau des taxis aériens dans la ville futur­iste de la pénin­sule ara­bique, et a annon­cé lun­di les détails les plus con­crets à ce jour pour son intro­duc­tion en 2026.

Depuis 2017, la ville com­mer­ciale des Émi­rats arabes unis a fait la promesse de lancer des taxis aériens dans la ville, qui compte déjà cer­tains des plus hauts bâti­ments du monde.

Une série d’in­dus­tries et d’en­tre­pris­es ont égale­ment soumis des promess­es, dont la plu­part seront inclus­es dans le som­met annuel du gou­verne­ment mon­di­al à Dubaï, qui a débuté lundi.

Le dirigeant de Dubaï, le cheikh Mohammed bin Rashid Al Mak­toum, a annon­cé la reprise du pro­gramme de taxis aériens sur Twit­ter dimanche. Cette fois, Dubaï a présen­té une vidéo pro­mo­tion­nelle du taxi volant élec­trique à 6 rotors de Joby Avi­a­tion à San­ta Cruz, en Californie.

Les respon­s­ables de l’émi­rat n’ont pas expliqué pourquoi Joby Avi­a­tion était exposé, plutôt que le EHang 184 chi­nois, le XPeng X2 et le volo­copter élec­trique alle­mand précédem­ment exposés à Dubaï. L’avion de Joby a été dévoilé sur le stand du World Gov­ern­ment Sum­mit lundi.

Oliv­er Walk­er-Jones, porte-parole de Joby Avi­a­tion, a déclaré : “Nous sommes ent­hou­si­as­més par cette oppor­tu­nité et l’ex­plorons activement”.

Ahmed Bahrozyan, un respon­s­able des trans­ports routiers de l’émi­rat, a de même déclaré lun­di à la radio d’É­tat Dubai Eye que le pro­jet était “encore à ses débuts.”

“Je n’ai pas encore signé de parte­naire”, a‑t-il déclaré.

Une autre dif­férence dans l’en­gage­ment des taxis volants de cette année est que les détails du pro­gramme ont été ren­dus publics. Autour de l’aéro­port inter­na­tion­al de Dubaï, qui accueille le plus grand nom­bre de vols inter­na­tionaux au monde, qua­tre “ports de bar­ty” sont prévus :

le cen­tre-ville de Dubaï, l’île arti­fi­cielle de Palm Jumeirah et Dubai Mari­na. Ces lieux com­pren­nent deux ram­pes de lance­ment et qua­tre points de recharge de taxis volants.

“Nous pen­sons que ces régions sont attrayantes en tant que cen­tres d’af­faires et de tourisme et que nous con­sta­tons une forte demande”, a déclaré M. Barojan.

Les prix des taxis aériens sont “comme un ser­vice de lim­ou­sine à Dubaï, peut-être un peu plus cher”, dit Baro­jan. RTA décrit les tar­ifs du ser­vice de lim­ou­sine comme étant “au moins 30% plus chers que les taxis”. Les taxis com­men­cent à env­i­ron 3,25 dol­lars et fac­turent 0,50 dol­lar par kilomètre.

Par ailleurs, con­traire­ment aux plans précé­dents, RTA prévoit ini­tiale­ment un taxi volant piloté plutôt qu’un taxi autonome. Baro­jan a expliqué que le pilote dis­pose d’un siège, comme le taxi volant élec­trique de Joby. Mais M. Varo­jan a pré­cisé qu’elle con­tin­uerait égale­ment à tester des taxis volants autonomes.

Le pro­to­type de Joby peut vol­er sur plus de 240 km jusqu’au point où il doit être rechargé, ce qui le met à la portée d’en­droits comme Abu Dhabi. Il décolle et atter­rit ver­ti­cale­ment, le rotor étant incliné vers l’a­vant pen­dant le vol. La vitesse max­i­male est de 320km/h.

L’ac­tion de Joby Ava­tion Inc., cotée à la Bourse de New York, s’échangeait à 4,20 dol­lars par action avant l’ou­ver­ture des marchés lun­di. Par­mi les prin­ci­paux action­naires, on compte Intel, et Delta Air Lines, basée à Atlanta, investit égale­ment dans l’entreprise.

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