
Toute personne ayant des enfants dans sa famille sait qu’il est pratiquement impossible de les faire taire en permanence. Aussi, lorsqu’une mère a été menacée par son voisin d’une lettre manuscrite se plaignant du bruit que faisait son enfant, elle a été consternée.
La lettre controversée, envoyée le dimanche 26 mars, a suscité de nombreuses discussions sur l’internet. Certains ont défendu l’expéditrice de la lettre, se demandant pourquoi les enfants vivaient dans un tel logement. D’autres ont affirmé que le bruit n’était ni malveillant ni festif et que ceux qui pouvaient l’entendre devaient l’accepter.
La mère, qui a menacé de l’appeler, a affirmé qu’elle vivait dans le complexe d’appartements depuis des années et qu’elle n’avait pas eu de problèmes, de sorte qu’elle se demandait quel était le problème maintenant.
Elle a laissé une note d’excuse dans son espace commun, expliquant que les jeunes enfants faisaient davantage de crises de colère, mais alors qu’elle faisait de son mieux pour limiter le bruit, elle vient de recevoir une note menaçant d’envenimer la situation. a‑t-elle déclaré.
Selon l’Express, la note disait : “Bonjour voisins, nous entendons des coups depuis la première heure du matin presque tous les jours.
“Cela perturbe mon sommeil, surtout le week-end. Nous apprécierions un peu de considération pour nos voisins, car nous vivons dans un immeuble où si vous arrêtez de faire du bruit, le bruit se propage. .
“Si le bruit ne peut être contrôlé, nous pourrions être amenés à déposer une plainte officielle auprès de la société de gestion de l’immeuble. Nous vous remercions de votre attention.
Sa mère a publié la note en ligne pour demander des conseils à d’autres personnes sur la manière de résoudre son problème, mais elle a écrit : “Ils se lèvent à 7 heures et se couchent à 7 heures”. Elle a alors pris la défense de ses enfants. Elle a ajouté : “De toute façon, la construction peut commencer à 7 heures”.
Il ne frappe pas tous les jours, il lance juste des jouets quand il fait une crise, ce qui arrive assez souvent, je pense.
“Je pense que les coups dont il parle, c’est quand on fait tomber un jouet le matin ou qu’on court parce qu’on a une palette. Nous faisons de notre mieux”.
D’autres ont défendu ses voisins, affirmant que “chacun a le droit de jouir de ses biens en silence”.
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